NOS COUPS
DE CŒUR


La fille du bois
Anne Maurel nous parle de son grand-père, homme blessé dans les tranchées en 1918, un oublié de la Grande guerre, revenu âgé d'à peine vingt-deux ans, cet "homme effacé comme une balle avait effacé l'ovale de son visage". Ce grand-père "sans histoire" qu'elle a "longtemps connu" mort de vieillesse à soixante-seize ans.
Une histoire venue de l'enfance qu'elle nous délivre dans une langue infiniment belle. Avec une économie de mots l'auteure dit l'essentiel.
Sensible et beau